• [Résumé] (Texte original en japonais : Tsuyoshi Futakuchi)
    Première Scène : Ambition d'un homme venu dans la grande ville – Rendez-vous amoureux imaginaire – Succès du démarchage à domicile
    Deuxième Scène : Son désir de réussir – Dans une boîte de nuit à la mode
    Troisième Scène : Il s'inquiète d'être très occupé. – Il réprimande son subalterne. – Un appel de son ancienne amie dans sa ville natale – Après lui avoir parlé, il rompt avec le passé.
    Quatrième Scène : Rêve nostalgique – Fatigue – Échec – Disparition de son subalterne
    Cinquième Scène : En appelant son ancienne amie au téléphone, il apprend que sa ville natale se développe, et qu'elle va se marier avec un autre homme. – Conflit (pantomime) – Un appel de son subalterne qui a survécu

    Opéra « Histoire d'un représentant de commerce » (1992)

    Cet opéra a été créé le mercredi 29 avril 1992 à la salle de « Kunteki-Jinja », préfecture de Kochi, joué par Kazutaka Shibamura, baryton, Yuri Sunai, piano et Satoru Ikeda, synthétiseur.
    [durée totale : environ 40 minutes]

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  • Très lourd, animé, enveloppé dans un parfum sucré, irrité ou trop heureux pour être tranquille.... Les compositeurs trouvent souvent l'inspiration de leurs œuvres à partir d'une image. Parfois pour la représenter, on choisit une note en fonction du ton et de sa valeur. Le rôle d'un interprète est de recréer l'esprit, pour ainsi dire le son originel.
    (Extrait de ma critique du concert final du « 20e concours de musique de Shimamura » en 2007)

    Mettre de l'émotion dans son interprétation ou sa composition ne semble pas être le fruit d'un apprentissage. Bien qu'elles puissent paraitre très libres, elles restent pourtant des interprétations fidèles à la notation. D'ailleurs ces interprétations induisent un état d'esprit de crainte, de tristesse ou de désespoir, où le manque de tons contrastant avec les passages transcendants, mais nécessitent alors de réaliser l'intégralité sans laisser ses émotions prendre le dessus.
    (Extrait de ma critique du concert final du « 21e concours de musique de Shimamura » en 2008)
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  • La SARL OCN va fermer sa plate-forme de blog au mois de novembre. Les utilisateurs ont la possibilité de transférer le contenu de leur blog sur le site « goo-blog », accessible à la même adresse que celle d'OCN. J'ai donc créé un goo-blog. J'entre dans ma dixième année depuis que j'ai entamé mon premier blog en juillet 2005. Ça m'a aidé à affiner mes idées sur l'écriture d'un texte et sur la composition. J'aimais le blog d'OCN dont le design me plaisait, au revoir et merci ! Le goo-blog que j'ai personnalisé, lui aussi me plaît beaucoup. Enchanté !

    Préparation du transfert de mon blog

    Note : On trouve le bouton « Twitter » et « J'aime » en cliquant sur le titre de l'article.

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  • Pour célébrer le dixième anniversaire de collaboration avec ma partenaire à quatre mains, et comme c'est le printemps, j'ai cuisiné un sukiyaki. J'ai sorti un sukiyaki-nabé (une casserole pour sukiyaki) et une cuisinière à gaz portable qui ont été laissés dans le fond de mon armoire de cuisine pour voir s'ils étaient tachés d'huile. En premier lieu, je les ai nettoyés. Ensuite.... Comment fait-on un sukiyaki ? Avec du bœuf en tranches fines, du shungiku (feuilles de chrysanthème), des nouilles shirataki en konjac, du poireau, et du yaki-dôfu (tofu grillé).... Pour l'accompagner, un bol de riz et du vin rouge.

    Le sukiyaki commémoratif du dixième anniversaire

    « Joyeux anniversaire ! Grâce à toi, ces dix années ont pu être très riches. Je te remercie par avance pour les 10 prochaines années. »

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  • Auparavant, je mettais le plus grand soin à composer le début d'une œuvre, mais après en avoir réglé tous les problèmes, je pouvais composer la suite de plus en plus facilement, et l'œuvre était déjà terminée dans ma tête pendant que j'en composais la seconde moitié. Ça marche bien dans le cas d'une sonate ou d'une ronde, mais en dehors de ces formes, cette façon de composer donne souvent un caractère préfabriqué ou une âpreté à la seconde moitié.
    Alors maintenant, je réfléchis davantage sur la seconde moitié. Vraiment, la première moitié qui est une exposition pleine d'attrait, la seconde moitié qui est un développement dramatique plein d'esprit mais construit de même matière que la première moitié... c'est la formule de la musique classique. A mon avis, la musique doit être comme cela, même de nos jours.

    Réfléchir sur la seconde moitié plus que sur la première

    L'autre jour, j'ai achevé la révision de deux œuvres, « Brown Brownian Motion » et « Breeze in A » pour flûte basse, vibraphone et trio à cordes. Tout ce qui a été retravaillé se trouve, principalement, dans la seconde moitié. Par ailleurs, en ce qui concerne « Brown Brownian Motion », j'ai modifié les points que j'avais appris de l'agogique de la première exécution.

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