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Par St.I le 2 Juillet 2011 à 16:44
Je suis allé au concert « Music Tomorrow 2011 » joué par l'Orchestre symphonique de la NHK dirigé par M. Pablo Heras-Casado, au « Tokyo Opera City Concert Hall » à Shinjuku Tokyo, le 28 juin 2011.
Flute Concertino op.30a (1947) de Hisatada Otaka
C'est une œuvre qui, au sens artistique, ressemble à du Doppler ou du Rimski-Korsakov. Les deux cors, qui étaient l'instrument à bois unique de l'orchestre, ont été joués très efficacement. (Hiroaki Kanda, flûte)
Correspondances (2002/04) [Première japonaise] d'Henri Dutilleux
Consiste en cinq mouvements. La soprano a chanté les textes en français attachés à chaque movement. III - La musique d'expressionnisme commencée par une mélodie mystérieuse du tuba a sublimé au scintillement céleste. V - Le début paisible comme un requiem. A l'apogée, l'orchestre a produit l'écho d'or d'une vocalise de soprano. Quelquefois des fanfares de basson ont fait un contraste. (Barbara Hannigan, soprano)Somakusha for orchestra (2009) [Œuvre obtenu le 59e Prix Otaka] d'Akira Nishimura
Une scène spéciale de Bugaku a été mise au centre de la scène et le grand orchestre s'est placé en « U » tout autour. Des vagues, allant crescendo, dépassant les limites extrèmes avant d'exploser, et de laisser place au silence, se sont succédées. Une fois un mode très long de trois trompettes a été joué, une fois tout l'orchestre a fait la fête accompagné du battement des grosses caisses. En plus, un aspect délicat comme une musique de chambre d'une flûte et deux petites flûtes a été organisé si bien que cela ressemble beaucoup aux sons harmoniques de chaos. Une grande œuvre qui consiste en six mouvements. Durée ; 45 minutes. (Tennoujigakuso Garyoukai, bugaku)
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Par St.I le 24 Janvier 2011 à 12:30
Je suis allé au concert « Le 710e Concert Régulier de L'Orchestre symphonique métropolitain de Tokyo » au Suntory Hall. (dirigé par M. Jonathan STOCKHAMMER / piano, MUKAÏYAMA Tomoko / violoncelle, FURUKAWA Nobuo)
Poulenc (1899-1963) / LES BICHES, suite pour orchestre
C'est l'œuvre de couleurs primaires précises, agiles et excitantes, comme l'instrumentation augmentée de « Pulcinella » de Stravinsky. J'avais comparé parfois les œuvres contemporaines douces et classiques à celles de Poulenc, mais j'ai maintenant remarqué que c'était une insulte envers Poulenc.
Dalbavie (1961-) / Variations orchestrales sur une œuvre de Janáček
Alors que le titre était « variations », il n'y en avait cependant pas beaucoup, mais plutôt une grande augmentation et reconstitution des tons originaux. Comme le début de « Une symphonie alpestre » de R. Strauss, l'entassement de longs tons tristes une fois a transformé à l'accord : ré-fa-la-do#, une fois a été concentré en ton partiel : la (deux fois). Il serait possible de composer des œuvres semblables d'une idée similaire par les thèmes différents.
Gondai Atsuhiko (1965-) / ZERO pour piano et orchestre, Op. 95
En se basant sur le rythme obstiné de tempo=80 et la figure : mi-fa#-si bémol, la forme de l'orchestre et du piano s'était progressivement transformée. Au milieu de l'œuvre, la figure : mi-fa# a été combinée au chœur nostalgique des cors avant le trémolo très haut de cordes depuis, l'œuvre a beaucoup « enflammée ». Un deuxième piano était présent derrière l'orchestre, cela a joué le rôle de la copie variée du piano principal. Bien que le tempo soit constant pendant l'œuvre entière, elle a ondulé l'excitation et la relaxation, puis l'enfer !
Tanaka Karen / URBAN PRAYER pour violoncelle et orchestre (Première japonaise)
Avec le rythme confortable de temps irrégulier, l'œuvre a répété la « modulation à la tierce ». On aurait dit une composition musicale tirée d'un film ou de la télé. Le lyrisme purifié, paradisiaque.
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Par St.I le 24 Octobre 2010 à 05:58
Je suis allé au concert « Projet pour orchestre 2010 » ce qui donnerait à l'Espace d'Art Métropolitain de Tokyo. (L'Orchestre symphonique de Tokyo dirigé par M. Naohiro Totsuka)
D'abord, le morceau de Kinoshita était pleine de naïveté comme un morceau écrit par une étudiante de talent. Le principal thème qui a progressé en sautant de l'intervalle de quarte comme Kodály ou Hindemith, a été accompagné par des accords polytonaux faits par les accords de triades différentes. Puis des chants d'oiseaux, des accords doux glissant lyriquement et l'apogée très fort ont suivi.
Ensuite, le morceau de Yamauchi était le concerto pour deux pianos mais l'un était dans l'orchestre. Les deux pianos ont joué des trémolos en mode mineur. Beaucoup d'idées efficaces qui devaient se produire rarement ont fait de multiples apparitions. C'étaient des techniques orchestrales étonnantes. Et l'apogée explosif a suivi.Dans le troisième morceau de Doï, les événements courts des musiques atonales se sont passés par intervalles comme la musique de la « Seconde école de Vienne ». Dans la seconde moitié, ils ont fondu dans le bourdon sombre, puis la caisse claire a représenté les présages d'une catastrophe fortissimo qui a achevé le morceau.
Le dernier morceau de Yanagida a été accompagné par un récit en anglais. Il se composait de quatre mouvements. Il y avait le lyrisme retenu du néoromantisme. Il n'a plus produit de sons bruyants, il a expiré dans l'obscurité infinie.
Donc l'ordre des quatre morceaux était comme la transformation d'un compositeur.
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Par St.I le 4 Juillet 2010 à 05:00
Je suis allé au concert « Music Tomorrow 2010 » joué par l'Orchestre symphonique de la NHK dirigé par M. Pascal Rophé, au « Tokyo Opera City Concert Hall » à Shinjuku Tokyo, le 22 juin 2010.
Dots Collection No.06 [Œuvre commandée par l'Orchestre symphonique de la NHK / Première mondiale] d'Akiko Yamané
Au début, j'ai été surpris par une figure de tout d'orchestre produisant des sons dissonants très forts, contenant des percussions métalliques. Mais elle a été interrompue par un silence 1 fois et demi plus long que la figure, et la combinaison s'est répétée ainsi jusqu'à la fin en variant sa couleur ou son intensité comme « tictac tictac...silence ». Dans la première moitié, ce que les cordes ont joué était seulement des glissandos ou des pizzicatos. Dans la seconde moitié, les cordes ont répété une ondulation de double-croches, parfois synchroniquement, parfois en s'écartant du « tictac ». En particulier, deux jeux de timbres et un wood-block marquaient invariablement un rythme mécanique.Guitar Concerto No.2 « Koïsucho » op.60 (1999) [Œuvre ayant obtenu le Prix Otaka en 2000] de Keïko Fujiie
Tout de suite après qu'une trompette a joué un fragment qui ressemblait à une chanson folklorique japonaise, des divertissements inattendus en la mineur ou mi majeur sont succédés librement comme par magie. Plusieurs instruments à percussion d'Amérique Latine ont produit les sons de la forêt, une flûte a transfiguré un rossignol. Avec énormément de joie, de vivacité, d'inspiration, il n'y avait aucune répétition mécanique.
(Kazuhito Yamashita, guitare)Chamber Music VIII op.94 « The Trees, All Their Green » (2009) [Première japonaise] d'Aulis Sallinen
Bien que l'instrumentation, quintette à cordes (4 premier violons...1 contrebasse) et violoncelle solo, ait été réduite, la musique était grande et profonde. Ayant commencé en la mineur pour se conclure en sol mineur, c'est tout à fait une musique tonale de l'expressionnisme allemand. Est-il encore possible de composer dans ce style de nos jours ? Mais oui, c'est maintenant ou jamais ! Pourvu toutefois qu'il n'y eût pas des parties qui m'ont paru un peu faibles....
(Pieter Wispelwey, violoncelle)La source d'un regard (2007) [Première japonaise] de Marc-André Dalbavie
Au début, un motif clair sur quatre tons a été joué par l'orchestre qui comprend des percussions métalliques. Ensuite une mélodie lourde en ré mineur a suivi lentement, de longs tons de l'écho de la mélodie se sont mêlés pour former un accord riche. Quelquefois, le crescendo a apporté un sforzando sévère, quatre cors ont répondu par un long ton à l'unisson. Dans la seconde moitié, les cordes ont joué des ondulations, tandis que les flûtes et les trompettes appliquaient occasionnellement des couleurs. La conclusion, la partie des cordes, où chaque instrument a un rôle de soliste, et les sons tragiques, bruyants, en sol mineur, accompagnés par la grosse caisse et le tam-tam, m'ont paru plutôt ordinaires.
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