• Un jeu sacré de quinze secondes pendant lequel l'orchestre produit simplement un beau ton, de rien n'être conduit, de rien n'être exprimé.... Il s'agit d'accorder les instruments avant le concert. Aujourd'hui, je me suis rendu compte de cette signification. Enfin, la musique suivante doit présenter au moins un attrait transcendant l'accordage.
    Et l'œuvre qui a facilement balayé, comme d'un coup de pied donné en riant, l'agréable tension de l'accordage était le « Concerto pour piano et orchestre » de Makiko Kinoshita. D'autre part, par la seule écoute de l'accordage, j'ai senti que la nouvelle œuvre je n'avais pas encore écoutée commencerait par le carillon tubulaire. J'avais vu juste. Il s'agit de l'œuvre de Horikoshi.

    Le projet pour orchestre 2012

    Le « Projet pour orchestre 2012 » au « Tokyo Opera City Concert Hall », le 16 octobre 2012 / piano, Kotaro Nagano / L'Orchestre symphonique de Tokyo dirigé par M. Takeshi Ooï

    J'ai terminé « HATAORI » pour ensemble à cordes


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  • Je suis allé à une exposition « Paul Delvaux : Odyssée d'un rêve » au Musée du Fuchu en vélo.
    La transformation de son style coïncide avec sa vie, depuis celui de ses 28 ans qui ressemble à Paul Cézanne jusqu'à celui de ses 90 ans qui ressemble à Marc Chagall. Plusieurs esquisses d'aquarelles ont été peintes au Sumi, l'encre traditionnelle utilisée en calligraphie japonaise et la couleur appliquée à l'huile.

    Paul Delvaux : Odyssée d'un rêve

    La notion du surréalisme peut-elle décrire la contradiction avec réalisme ?
    On peut reconnaître la perspective déformée dans plusieurs de ses œuvres, par exemple sur « Le Cortège » (photo), deux perspectives du décor et celle du cortège des neuf nudités ne correspondent pas, les nudités en arrière sont peintes plus petites que le réel. Ces œuvres ne m'ont pas bouleversé par une énergie explosive, mais plutôt ont éveillé ma curiosité et m'ont laissé pensif.

    J'ai terminé « HATAORI » pour ensemble à cordes


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  • Lors de ce concert, la « Solitude ; pour flûte basse et piano » que j'ai composée va être interprétée pour la première fois.
    la note du programme

    Le récital de flûte de Takanori Yamané
    « Solitude »
    Dimanche 10 février 2013
    Salon des Artistes « Dolce » (Shinjuku)
    Ouverture des portes : 14h30 / Début du Concert : 15h00
    Places non réservées : 4.500 yens

    Takanori Yamané, flûte basse (l'œuvre est dédiée à M. Yamané)
    Satoru IKEDA, piano

    Renseignements : 03-5339-8383 (Powell Flutes Japan)

    Première exécution de la « Solitude ; pour flûte basse et piano »

    YouTube

    * * * Processus de composition * * *
    1) Ma dédicace
    2) D'un poème à une musique instrumentale
    3) Un poème français pour flûte basse
    4) La répétition
    ♫ la partition et l'audition

    J'ai terminé « HATAORI » pour ensemble à cordes


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  • La mélodie principale qui s'élève en roulant avec l'arpège crée parfois une harmonie dangereuse. Le refrain et les couplets thématiquement et rythmiquement contrastés circulent comme le rondo...quelle façon de faire nonchalante mais néanmoins excellente ! Il y a une écriture non-analysable en théorie dont le retard se perd sans résolution, celle-ci est innovatrice spécifiquement pour le piano....

    « Arabeske » de Schumann

    Il s'agit d' « Arabeske » de Schumann que je peux maintenant jouer de tête.

    J'ai terminé « HATAORI » pour ensemble à cordes


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