• La musique contemporaine exige une interprétation différente de la musique classique. Par exemple, le fait d'accorder de l'importance au tempo ou au timbre plus qu'à la justesse des tons. En effet, on a passé la plupart de la répétition à travailler le tempo. La manière vraiment facilite la compréhension de la musique. Mais, en approfondissant l'interprétation en répétant plusieurs fois, on pense que la justesse des tons est importante de même, et que le bruit violent ne doit pas être trop utilisé puisqu'il est désagréable.
    Finalement, on comprend que le dernier but est identique à la musique contemporaine et à la musique classique. Même une semaine au concert, lorsqu'on trouve de nouvelles idées de modifications, i.e. l'utilisation de la pédale, focaliser le médium de la voix, ces petites modifications rendent l'œuvre plus fraîche comme si c'était une nouvelle œuvre, cela rafraîchit aussi la répétition, et la volonté de jouer est plus élevée.

    L'interprétation de la musique contemporaine

    Le « Psaume ; pour saxophone alto et piano » va être créé dans une semaine ! J'ai acheté un nouveau costume dont couleur ressemble à celui d'un bâtiment de la photo.

    J'ai terminé « HATAORI » pour ensemble à cordes


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  • J'ai écouté les quatre premiers compétiteurs des six de la « Finale de sélection du 7e concours international d'orgue de Musashino-Tokyo » à la Salle Municipale Culturelle de Musashino (salle de récital). Les quatre compétitrices que j'ai écoutées étaient Japonaises. [Répertoire exigé: Le programme doit comporter des œuvres de la période romantique et au moins une œuvre de J.S.Bach / Durée ; 30-40 minutes]

    7e Concours International d'orgue de Musashino-Tokyo

    J'ai senti qu'il y avait quelques différences dans la capacité des compétitrices à garder l'attention de l'audience. Par exemple, la registration, la balance du volume de la pédale, le sens du rubato, et la longueur de la note de la cadence. On pouvait percevoir quelques influences de style du jeu du piano dans le rubato de certains organistes qui sont reconvertis d'étudiants en piano. Une sorte d'expression intime propre à l'instrument solo n'est pas adéquate à l'orgue, lorsqu'il est l'instrument solo.
    Ensuite, le chorale interprété avec le trémolo m'a paru rendre la musique trop douce, comme une musique de noce. Au contraire, si on joue une œuvre entière par un registre unique, l'interprétation ne peut pas éviter d'être monotone. Comme l'orgue produit le son électriquement, si des sons bruyants destructifs sont produits, cela n'est pas la preuve de la capacité des interprètes, plutôt la seule dissonance bruyante perd son efficacité.
    À mon avis, c'était Mme Eiko Yoshimura qui était la meilleure. Avec beaucoup de changements, un style élégant, très puissant mais majestueux, elle a décrit un mythe par sa musique. [Son programme : J.S.Bach - Prélude et fugue en ré majeur BWV532 / C.Franck - Prière en do dièse mineur Op.20 / F.Liszt - Prélude et fugue sur le nom de BACH]

    J'ai terminé « HATAORI » pour ensemble à cordes


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  • Je suis allé au concert « Profil d'un compositeur Masahiro Miwa » organisé par « La Fondation Suntory pour l'art » au Suntory Hall. [L'Orchestre symphonique métropolitain de Tokyo dirigé par Ichiro Nodaïra / Marga Sari ; ensemble Gamelan]
    1) Bolero by Muramatsu Gear Engine (2003)
    Un chaos cyclique, comme une loi de l'univers. A la fin, accompagnés par le modèle rythmique fixe des castagnettes, du tambour basque, et du gong, des clusters des cordes allaient converger en ondulant vers un ton, et en un instant sont revenus au chaos. Cela a été répété mille fois. Après dix minutes, une phrase lente de gamme par tons des cors, la fanfare d'une trompette, et le tambour militaire de la symphonie « Leningrad » de Chostakovitch les ont rejoint. [Durée ; 28 minutes]

    Profil d'un compositeur « Masahiro Miwa » par La Fondation Suntory pour l'art

    2) A Song in Praise of Love for Four Bits Gamelan (2007)
    Un couple de danseurs a commencé à se mouvoir comme des roseaux qui tremblent dans la brise, accompagné d'une mélodie en la majeur très modérée interprétée par un erhu de l'ensemble Gamelan et du gong très lourd. Après neuf minutes, des percussions à clavier en métal se sont joint à l'unisson en « forte », puis ils ont diminué peu à peu. En chemin, le chant les a aussi rejoint. [Durée ; 22 minutes]
    Les deux œuvres ont stimulé mon parasympathique. On est décontracté davantage par la musique d'ambiance.
    3) « Lux aeterna luceat eis, Machina » for orchestra and CD player (2011)
    Une percussionniste a continué le rythme 4:3 du maracas et du sistre. Le bruit comme des ornements extrêmement exagérés de la musique folklorique japonaise venait d'un lecteur de CD. Quelque temps après, on pouvait entendre le son faible de l'orchestre, mais c'était vraiment le son du CD. L'orchestre n'a joué rien seize minutes du début. C'était le monde mort ! Après quoi l'orchestre a joué des pulsations qui étaient les mêmes que celles du CD, comme la musique minimaliste de Steve Reich, vingt minutes durant. Cette redondance a fait la tension de la première moitié nulle. [Durée ; 40 minutes]
    (Photo: un autre événement hors de la salle)

    J'ai terminé « HATAORI » pour ensemble à cordes


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