• En ce monde, il y a beaucoup plus de personnes mortes et enterrées que de vivantes. Je l'oublie toujours mais lorsque je vais dans cette ville, je m'en rappelle très naturellement.

    La ville du cimetière

    La ville est située à la fin d'une pente très raide comme un abîme. Les tombeaux innombrables sont devenus la ville. Partout dans la ville, les autobus roulent dans toutes les directions, la ville est pointillée par les arrêts. Comme la ville s'est construite après avoire exploité une forêt, deux voies ferrées se croisent à la vallée. Le plus courte des voies va vers un champ de courses qui est voisin de la ville.
    La gare que la plus proche du cimetière est entourée par beaucoup de magasins de pierres tombales et de temples. Il y a toujours de l'encens. Sur le côté opposé à la principale rue, il y a la base aérienne des Forces japonaises d'autodéfense et un grand centre culturel qui sont voisins. C'est la ville entourée par la nature et du feuillage.
    Plusieurs luttes par les vivants m'ont parues insignifiantes. Je concevrai des espérances de vivre. Il s'agit de « Tama cimetière » à Fuchu.

    J'ai terminé « HATAORI » pour ensemble à cordes


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  • Je suis allé au concert « Récital de Flûte de Takanori YAMANÉ » donné au Salon des Artistes « Dolce » à Shinjuku Tokyo, le 6 juin 2010. En collaboration avec le clarinettiste Shin SUGIYAMA, le programme a consisté en des œuvres de duo et de flûte solo.
    La sonorité de M. Yamané est forte et profonde, plutôt que délicate ou cristalline. Il jouait « Allemande » et « Sarabande » de la 5e Suite pour violoncelle seul de Bach (transcription pour flûte) particulièrement concentré. Par son interprétation des « Deux études vénézuéliennes » de Marco Granados (un compositeur contemporain), il a présenté une exécution transcendante comme Paganini du violon.
    « Huit morceaux (extraits) » de Lowell Liebermann (né en 1961) peut être joué par toutes sortes de flûtes, et il a choisi une flûte basse. Dans le cas de la grande flûte, plus le registre se lève, plus le son brille. Pour la flûte basse au contraire, plus du le registre descend, plus du le son grossit. Il a expliqué ce qu'était la flûte basse au public, puis il s'est légèrement plaint du poids de l'instrument qui était demi-longue que le basson. Un roseau auxiliaire avait été attaché sur l'embouchure de l'instrument par un technicien. Ce mécanisme a permis le flûtiste de transformer les sons en une sorte d'instrument du roseau, comme le cor anglais.

    Récital de Flûte de Takanori YAMANÉ

    Sur le duo avec la clarinette, en comparaison avec la transcription de l'œuvre de Beethoven, « Still Airheads (en 5 mouvements) » (première mondiale) de Gary Schocker (né en 1959) a mieux distingué les caractéristiques de chaque instrument. Mais l'expression claire de cette œuvre m'a paru être le style de Poulenc. Dans le 5e mouvement rythmique, la flûte doublait quinte consécutive en-haut de la clarinette. Je suppose que c'était parce que la clarinette n'a que des harmoniques impaires. Si tel était le cas, je ferais doubler la flûte à l'octave plus 5 degrés en-haut de la clarinette, fidèlement aux harmoniques impaires de la clarinette.

    J'ai terminé « HATAORI » pour ensemble à cordes


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