• L'« Étude op.25 nº 6 » de Chopin

    « L'accord de quarte et sixte », en tant que deuxième renversement de l'accord de tonique, est toujours employé au point culminant dans la musique classique — donc la dominante la plus forte. Cette dominante est conduite par la double-dominante ou l'accord de sixte napolitaine, c'est à dire un « échec au roi ». D'ailleurs auparavant, une « crise » se présente.... Là, plusieurs signes accidentels sont ajoutés, au moment où l'on s'éloigne le plus de la tonique, et la crise se transforme en accord de quarte et sixte comme par magie, pour aboutir à l'apothéose.

    L'« Étude Op.25-6 » de Chopin

    Dans le cas d'une tonalité qui a beaucoup de touches noires, l'autre pôle est les touches blanches. Pour en sol dièse mineur, ce qui fait office de crise, c'est ut majeur ! Dans l'« Étude op. 25 n° 6 en sol dièse mineur » de Chopin, les deux mesures en ut majeur qui apparaissent subrepticement est « le fruit défendu ».

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