• Je suis allé à une exposition spéciale « Réalisme espagnol contemporain: Gustavo Isoe » au Musée du Nerima en vélo.

    Réalisme espagnol contemporain: Gustavo Isoe

    Presque toute les œuvres étaient des nus et des natures mortes, à l'exception de quelqus paysages et de l'autoportrait. Jusqu'à sa mort à cinquante-trois ans en 2007, son style, le « réalisme », a été immuable. Une peinture seulement « la lessive », accrochée au mur d'escalier m'a paru avoir été utilisé un peu de technique de la peinture abstraite. Puis, dans une autre peinture de nu, le modèle était allongée sur du papier journal, on pourrait y voir l'intention de refléter les temps modernes et l'environnement. Mais, au travers de tout les objets ordinaires comme des fruits, des bouteilles, de la vaisselle, de la viande, du poisson et du nid d'oiseau le peintre a exprimé la gravité de la vie et de la mort. C'est l'éternité et même le moment. Cela est la différence décidée entre l'enfant ou l'amateur et l'artiste. La dernière nature morte inattendue était la demi arête d'une sardine sur un plat.

    J'ai terminé « HATAORI » pour ensemble à cordes


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  • Mes parents sont venus chez-moi de 13 heure à 17 heures pour le déjeuner. L'autre jour, ma mère s'est blessée à la jambe en tombant de son nouveau vélo à assistance électrique, mais elle n'a pas eu de fracture, elle m'a apporté des fruits chers.

    Je leur ai fait prendre une douche, puis nous avons porté un toast à la bière et au curry comme toujours. Je leur ai fait voir mes publications des livres électroniques des partitions faites par ordinateur. La conversation de mon père a continué comme si un long drame. Ma mère m'a parlé de son voisinage. Je ne sais pas pourquoi mais je pouvais discuter les idées de ma mère. La conversation a finalement dévié sur leur dernière habitation, et ils m'ont parlé du plan qu'ils avaient déjà décidé. Mes parents se vont succéder le reste de leur vie.

    J'ai terminé « HATAORI » pour ensemble à cordes


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  • Je suis allé au concert « Music Tomorrow 2011 » joué par l'Orchestre symphonique de la NHK dirigé par M. Pablo Heras-Casado, au « Tokyo Opera City Concert Hall » à Shinjuku Tokyo, le 28 juin 2011.
    Flute Concertino op.30a (1947) de Hisatada Otaka
    C'est une œuvre qui, au sens artistique, ressemble à du Doppler ou du Rimski-Korsakov. Les deux cors, qui étaient l'instrument à bois unique de l'orchestre, ont été joués très efficacement. (Hiroaki Kanda, flûte)
    Correspondances (2002/04) [Première japonaise] d'Henri Dutilleux
    Consiste en cinq mouvements. La soprano a chanté les textes en français attachés à chaque movement. III - La musique d'expressionnisme commencée par une mélodie mystérieuse du tuba a sublimé au scintillement céleste. V - Le début paisible comme un requiem. A l'apogée, l'orchestre a produit l'écho d'or d'une vocalise de soprano. Quelquefois des fanfares de basson ont fait un contraste. (Barbara Hannigan, soprano)

    Music Tomorrow 2011 / L'Orchestre symphonique de la NHK

    Somakusha for orchestra (2009) [Œuvre obtenu le 59e Prix Otaka] d'Akira Nishimura
    Une scène spéciale de Bugaku a été mise au centre de la scène et le grand orchestre s'est placé en « U » tout autour. Des vagues, allant crescendo, dépassant les limites extrèmes avant d'exploser, et de laisser place au silence, se sont succédées. Une fois un mode très long de trois trompettes a été joué, une fois tout l'orchestre a fait la fête accompagné du battement des grosses caisses. En plus, un aspect délicat comme une musique de chambre d'une flûte et deux petites flûtes a été organisé si bien que cela ressemble beaucoup aux sons harmoniques de chaos. Une grande œuvre qui consiste en six mouvements. Durée ; 45 minutes. (Tennoujigakuso Garyoukai, bugaku)

    J'ai terminé « HATAORI » pour ensemble à cordes


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